Le premier mai anticapitaliste, organisé depuis plus d’une quinzaine d’années par la Convergence des luttes anticapitalistes (CLAC), a été l’objet d’une répression brutale, ponctuée d’agressions violentes par les agents du SPVM, et ce avant même que la manifestation ait pu débuter. En effet, les policiers ont provoqué les manifestant·e·s en s’introduisant dans le rassemblement afin de photographier les participant·e·s, ce qui constitue de l'intimidation. Rappelons-le : le droit de manifester est protégé par les Chartes des droits et libertés.



MISES À JOUR
Le 1er mai 2022, suite à l'appel de la Convergence des lutte anticapitalistes (CLAC), plus d'un demi-millier de personnes ont pris la rue pour la journée des travailleuses et des travailleurs. Le thème mis de l'avant cette année était : "Colonial et écocidaire, le capitalisme c'est la guerre !".