On ne peut parler de capitalisme sans parler de ses impacts sur l’environnement. Comme nous le verrons plus loin, le capitalisme repose sur une croissance infinie, ce qui est évidemment problématique sur une planète de taille finie. Mais avant de se pencher sur la situation actuelle, examinons quelques éléments sur le capitalisme et le gaspillage, sur les liens entre rareté et exclusion et sur le développement durable.
Le gaspillage
Le développement du système capitaliste est basé sur l’optimisation des processus de production dans le but de réduire le temps de travail pour chaque unité produite. Les entreprises qui ne visent pas cette augmentation de la productivité font inévitablement faillite, alors que leurs compétitrices produiront plus pour moins cher. Depuis l’apparition du capitalisme, nous sommes passé-e-s d’un mode de production strictement utilitaire, dans lequel les personnes produisaient les biens nécessaires à leur subsistance, à un système basé sur l’échange de marchandises visant un volume de production toujours plus grand, qui se traduit nécessairement par une augmentation constante du gaspillage. On peut identifier cinq types de gaspillage: le gaspillage productif, le gaspillage managérial, le gaspillage spéculatif, le gaspillage politico-économique et la surconsommation.
Le gaspillage productif. Dans n’importe quelle industrie, pour montrer qu’un bien est prêt à être utilisé, on l’emballe. Le but est d’éviter d’abîmer ou de mélanger les biens et de les rendre standards. Ajoutons que la standardisation fait en sorte que sur le lieu de production, des items non conformes sont fréquemment rejetés. La pratique peut parfois être justifiée, mais peu importe le secteur, des formes similaires de gaspillage existent et ne découlent souvent que du désir de trouver la solution « la moins chère » de produire des biens standards.
Le gaspillage managérial. Plusieurs projets ne voient jamais le jour ou sont abandonnés après une mise en marché ratée. On peut penser aux jeux vidéo, aux nouveaux produits, aux nouvelles technologies, aux moyens de communication, etc. Les produits qui se rendent effectivement sur le marché ne sont que la pointe de l’iceberg. Plusieurs entreprises voguent sur la nouveauté et la majorité de leurs projets n’aboutissent pas. Et les gens qui travaillent sur ces nouveaux projets procèdent au même gaspillage productif décrit plus haut.
Le gaspillage spéculatif. Lorsque la valeur des entreprises d’un secteur donné augmente, elle mène à la création d’entreprises en tout genre afin de canaliser les capitaux investis. Ce sont ces entreprises faisant la promotion de nouveaux produits, de nouvelles idées, que l’on appelle des start-ups. Elles misent, entre autres, sur leur forte croissance pour attirer des investisseurs, mais dans un contexte de spéculation, ces entreprises peuvent simplement travailler sur leur image, sur leur représentation auprès des actionnaires, plutôt que de réellement investir dans la création de produits. Dès que la spéculation dans le secteur ralentit, ces start-ups, n’ayant aucun revenu autre que des investissements, se dissolvent, laissant derrière elles des équipements qui vont rouiller et des employé-e-s au chômage. Par exemple, la majorité des entreprises apparues dans la bulle .com, de 1999 à 2001, avaient déjà disparu en 2004.
Le gaspillage politico-économique. Parce que les entreprises n’évoluent pas en vase clos, les pays sont en compétition dans l’arène mondiale. C’est à cette échelle que les barrières tarifaires, les embargos et les lois sur l’exportation sont votés, fréquemment de façon mal synchronisée avec les cycles de production.
La surconsommation. On a tendance à acheter des biens qu’on n’utilise pas. Ce comportement est encouragé par des facteurs évidents: incitation aux achats compulsifs, achat de sûreté (au cas où on en aurait besoin), publicité omniprésente ou destinée aux enfants, etc. Sans compter que le statut social est souvent établi sur la base des possessions matérielles.
Prenons l’exemple de l’agriculture. La dernière étude des Nations Unies estime que 50 % des biens alimentaires produits dans le monde sont gaspillés.1 Toutefois, cette étude ne s’arrête qu’au « cycle de production », observant la façon dont la nourriture est produite et ne prenant pas en compte les « cas particuliers » liés aux politiques (notamment les lois sur l’importation de produits alimentaires) ou aux modes alimentaires des pays du Nord.
De plus, dans de tels calculs, on ne tient pas compte de la quantité de travail nécessaire au maintien du capitalisme: les travailleurs et travailleuses payé-e-s pour s’assurer que chaque personne qui achète quelque chose le paye, l’impression et le contrôle de l’argent, le secteur de la finance, la publicité, les guerres et conflits causés par le maintien des injustices, les stratégies de vente douteuses comme l’obsolescence planifiée, etc.
Finalement, on ne peut passer sous silence ce que l’on détruit pour maintenir en place le capitalisme. Il existe encore énormément de personnes qui vivent de l’agriculture de subsistance, de la chasse, de la propriété collective de la terre et d’autres formes non capitalistes d’exploitation agricole. Au Canada comme ailleurs, les communautés autochtones défendent leur droit de pêche traditionnel, comme leurs territoires de cueillette ou de chasse, contre les industries. Ces droits et territoires sont constamment menacés par l’agrobusiness ou les projets miniers ou hydroélectriques: les modes de production autochtones sont rarement considérés comme « productifs » et « rentables » selon les critères d’évaluation capitalistes. En effet, les gens qui vivent de l’agriculture traditionnelle ne cultivent que ce dont ils et elles ont besoin et conservent efficacement leur production. C’est pourquoi on continue aujourd’hui de s’attaquer aux producteurs et productrices qui conservent une part de leur production pour faire des semences, qui font de l’agriculture de subsistance ou qui, plus généralement, ne mettent pas sur le marché leur production alimentaire: le produit intérieur brut (PIB) ne peut augmenter que si l’on vend notre production pour acheter d’autres biens.
L’épuisement des ressources et l’exclusion
Le gaspillage s’inscrit nécessairement dans le fonctionnement normal du capitalisme. C’est lorsque le mécanisme se bloque que les politiciens nous parlent de l’épuisement des ressources. Toutefois, ce soi-disant épuisement n’est que le maquillage de dynamiques qui visent à exclure les plus pauvres d’entre nous, à favoriser l’agenda des gouvernements et à renforcer le pouvoir des entreprises. Voyons comment.
On explique fréquemment la valeur des biens en fonction de la rareté. Dans les faits, les entreprises tirent des bénéfices astronomiques du contrôle des ressources nécessaires à la production de biens par toutes sortes de moyens, comme en employant des méthodes d’extraction moins coûteuses ou en diminuant les salaires des employé-e-s, lorsque la valeur des ressources sur le marché baisse. Ce n’est que lorsqu’il devient impossible de faire des profits qu’elles s’arrêtent. Par exemple, l’extraction de sables bitumineux demande un investissement fixe, mais le prix de revente est variable; on cesse la production lorsque son coût dépasse le prix de revente, même s’il reste encore des milliards de litres de pétrole dans le sous-sol albertain. Ainsi, la rareté n’est qu’un facteur secondaire dans la détermination des prix: le contrôle sur le territoire d’exploitation, la concurrence entre les entreprises et la quantité de travail nécessaire à l’extraction sont en fait beaucoup plus importants.
L’humanité a traversé différentes crises de consommation, et la plupart d’entre elles possèdent des similarités qui permettent de dégager deux conséquences principales. Premièrement, dans une économie globalisée comme la nôtre, une faible augmentation des prix peut entraîner une baisse de disponibilité des marchandises dans les pays dominés économiquement. Par exemple, lorsque les États-Unis ont mis en œuvre une réforme des subventions agricoles sur le maïs afin de favoriser la production d’éthanol, cela a entraîné une augmentation du prix du maïs, si bien que le Mexique et l’Égypte ont dû débourser un milliard de dollars supplémentaire pour leur approvisionnement entre 2005 et 2010.2 Ainsi, plusieurs enjeux environnementaux se traduisent par une augmentation des inégalités sociales en raison de la pression indue sur les pays désavantagés dans la joute monétaire. De plus, les projets de développement créant une énorme pollution réduisent la valeur des terres contaminées ou des résidences qui s’y trouvent. Ainsi, les riches ont toujours plus de chance d’avoir accès à un environnement de qualité.
Deuxièmement, ces crises d’approvisionnement renforcent le système en place et peuvent, en fait, générer une croissance économique. En effet, le système capitaliste profite des crises environnementales et des changements aux modes d’extraction. Pensons, par exemple, au boom pétrolier survenu dans le nord de l’Alberta, qui a nécessité non seulement des investissements dans d’énormes infrastructures industrielles, mais a aussi doublé la taille de certaines villes. Ou encore, lors de la crise des subsistances en Europe en 1816, année pendant laquelle il n’y a eu presque aucune récolte, l’économie ayant été grandement stimulée en raison de l’augmentation drastique de l’importation de biens alimentaires provenant de la Russie.3 Ainsi, le système économique a tout à gagner des crises environnementales et il n’y aura définitivement pas de désintégration économique à la suite d’une catastrophe écologique.
L’État tire doublement profit de la reconstruction: premièrement, de l’ouragan Katrina à la reconstruction de l’Irak ou de l’Afghanistan, les gouvernements ont généreusement distribué les contrats de reconstruction, qui rapportent généralement de deux à trois fois plus que des projets réguliers vu l’urgence et les dispositifs de sécurité nécessaires. Deuxièmement, ils en profitent pour passer des réformes sociales, administratives et juridiques visant la pérennité du système capitaliste. Après l’accident ferroviaire à Lac-Mégantic en 2013, la majorité des investissements d’Ottawa visaient la relance économique. La reconstruction est particulièrement profitable: aucune recherche n’est nécessaire, on ne fait que produire plus de ce que l’on produit déjà. C’est le même effet économique qui a fait que la reconstruction européenne a été aussi profitable pour les États-Unis après la Seconde Guerre mondiale. La perte de productivité temporaire due à un désastre est fortement compensée par l’incitation à l’achat, les constructions d’urgence et l’importation de main-d’œuvre des régions avoisinantes.
Développement durable, comportements individuels et greenwashing
Depuis plusieurs années, le développement capitaliste a causé des changements dramatiques pour les écosystèmes terrestres, dont la réduction de la biodiversité et le réchauffement climatique. Une combinaison d’efforts scientifiques, politiques et sociaux pour conscientiser et réagir à ces changements ont eu lieu, si bien que les gouvernements et les industries n’ont eu d’autre choix que de développer des « solutions », dont la portée est toutefois très limitée. Par exemple, les accords internationaux sur les gaz à effet de serre sont systématiquement minés par la nécessité de croissance économique. Entre autres « solutions », examinons le développement durable, le greenwashing et les comportements individuels.
Le développement durable mis de l’avant par les élites économiques est une façon de rendre un système basé sur le gaspillage (voir plus haut) durable à long terme. Les périodes de croissance soute nue du capitalisme sont basées sur des transitions: on déploie un nouveau réseau de transport en passant de la voiture au transport en commun, on passe de la publication papier à la diffusion par internet, de la vente en magasin à la vente en ligne. Ces changements ont des impacts variés sur l’environnement et sur la consommation énergétique, mais il reste que l’objectif des entreprises est de s’assurer qu’une pratique donnée est durable, en faisant abstraction de la pollution causée en amont. Par exemple, on considère le développement de logiciels comme une activité non polluante, donc durable. Toutefois, lorsque l’on pense à la quantité de microprocesseurs nécessaires au fonctionne ment de millions d’ordinateurs, sans compter que ceux-ci sont renouvelés au minimum chaque deux ou trois ans, et à la pollution causée par l’extrait des minerais pour leur production, on voit bien que ces entreprises dites durables sont à peine... endurables. Pire, seulement certaines niches de produits existent dans le domaine du développement durable (avec les certifications qui s’y rattachent) et les produits « responsables » se retrouvent donc en compétition avec les autres, qui sont fréquemment moins chers à cause des économies d’échelle (plus on produit, moins ça coûte cher par unité). Ainsi, l’effet économique général du développement durable demeure la croissance économique, puisqu’une partie de la production est vendue plus cher.
Par exemple, la certification FSC, qui a été mise en place pour favoriser des pratiques durables en foresterie, propose une structure dite collégiale incluant la participation des citoyen-ne-s, de groupes environnementaux, de travailleurs et travailleuses, de certaines communautés autochtones. Toutefois, cette structure est issue du marché pour aider le marché.4 En 20 ans, 35,3 % des forêts nord-américaines ont été certifiées, contre 4 % des forêts africaines, ce qui montre encore les disparités économiques entre le Nord et le Sud. La plupart des entreprises se sont jointes au programme dans l’espoir de trouver de nouveaux marchés.5 Toutefois, lorsque le contexte politico-économique n’a plus été favorable à la certification FSC, entre autres en raison de la crise économique, elle a été revue à la baisse6, alors qu’elle était à peine suffisante pour permettre une exploitation forestière continue. Résultat: on aurait besoin d’une nouvelle norme permettant vraiment une exploitation forestière soutenable. Certes, une partie de la destruction environnementale a été temporairement ralentie, mais la conséquence principale a été une augmentation des prix de 5 à 20 % pour 30 % de la production forestière, tout en encourageant la déresponsabilisation des gouvernements quant à la protection environnementale. Tout ça sans même faire une critique des normes en question, qui sont à peine plus élevées que les réglementations locales, et dont des organisations se dévouent à montrer l’inefficacité.7
Cela nous amène à parler de consommation responsable, dont les limites sont nombreuses: on compte sur les individus pour qu’ils et elles consomment des produits équitables ou qu’ils et elles fassent pression sur leur entourage pour qu’il fasse de même, ce qui fait qu’une très faible partie des biens produits le sont dans un certain respect de l’environnement ou des travailleurs et travailleuses. C’est-à-dire qu’on fait porter à la population le fardeau du développement durable et de la consommation responsable, parce que les entreprises, qui contrôlent pourtant la production, ne veulent pas être tenues de respecter des normes environne mentales. Toutefois, seule une infime minorité de la population mondiale peut se permettre l’achat de biens éthiques. Lorsqu’on prône la consommation responsable, dont le slogan se résume à « Acheter, c’est voter », on exclut les gens trop pauvres pour y participer, on recrée la hiérarchisation sociale au sein de la « contestation » et on fait reposer sur les épaules des plus pauvres la responsabilité de la destruction environnementale.
En plus de diviser la population, les mouvements basés sur la consommation responsable ne prennent pas en compte la globalité du phénomène social: si des façons plus durables, responsables ou équitables existent, elles doivent être accessibles à tous et toutes, et la meilleure façon d’y arriver, c’est de mettre en place des organisations qui ne visent pas à tirer un profit de la vente de ces produits.
Pire, certaines pratiques qualifiées de « durables » ou « écologiques » ne le sont pas vraiment, ou le sont seulement dans le cadre d’une utilisation spécifique. Par exemple, il est très difficile de trouver du shampoing qui n’est pas « 100 % naturel », des bouteilles d’eau qui ne mentionnent pas le mot « nature », et des compagnies de couches qui n’utilisent pas de coton bio… ce qui ne garantit en rien que ces produits soient inoffensifs pour l’environnement. C’est ce qu’on appelle du greenwashing, lorsque des entreprises font semblant d’être « vertes ». Seulement une minorité peut différencier le bon grain de l’ivraie: il faut du temps et des ressources pour savoir si ça vaut la peine ou s’il s’agit d’une attrape. De nombreux projets sont en fait utiles et valables, et doivent être encouragés, mais il semble que ne pas consommer ou, du moins, réduire sa consommation soit la seule solution véritablement écologique.
La législation environnementale
On voit ainsi que le problème ne réside pas tant dans les pratiques spécifiques des entreprises, mais dans les mécanismes de rétroaction avec les communautés qui s’inquiètent de la destruction de leur environnement. C’est la nature même des entreprises qui fait que les informations qu’elles possèdent sur les dommages environnementaux qu’elles causent, sur les pratiques internes légales ou semi-légales pour économiser, sur la toxicité de leurs propres produits, ne sont connues que de leurs actionnaires, et ce, quand ils veulent bien le savoir. Dans ce contexte, les travailleurs et travailleuses et la communauté habitant à proximité d’une entreprise ne sont donc pas en mesure de décider quoi que ce soit, on les laisse à peine exprimer leurs inquiétudes sur les réseaux sociaux. S’ils et elles veulent des changements, il leur revient de prouver hors de tout doute la responsabilité directe de l’entreprise, dans le cadre de procédures judiciaires coûteuses et interminables. Pendant ce temps, l’entreprise a tout le loisir de poursuivre ses opérations, d’exploiter les ressources et de repartir, laissant derrière elle la destruction et la maladie.
Ce n’est pas un problème qui peut être résolu par les gouvernements, qui dépendent totalement de la croissance économique. Dans les États libéraux de droit commun, tout est permis, et d’éventuelles pratiques problématiques peuvent faire l’objet de régulations. Or, les entreprises savent que les lois ne sont mises en place que lorsque des preuves de toxicité sont établies. Par exemple, alors qu’aucune étude ne démontre que les ondes des téléphones cellulaires sont nocives à forte dose8, plusieurs études sur le sujet mentionnent que les chercheurs et chercheuses ont été approché-e-s par les compagnies de ce secteur afin de modifier ou de ne pas publier leurs résultats. Ainsi, les entreprises ont tout intérêt à camoufler les problèmes environnementaux et les risques à la santé liés à leurs activités. Tant qu’une minorité possédera les entreprises et en tirera un profit grandissant, la population n’aura que des moyens marginaux pour stopper le saccage environnemental en cours.
Le réchauffement climatique est un autre exemple de l’incapacité criante des gouvernements à résoudre les problèmes écologiques. Depuis la signature de l’accord de Kyoto en 1997, les émissions de monoxyde de carbone ont augmenté de plus de 50 % alors qu’elles devaient diminuer de 8 %. Avec la désintégration irréversible de l’inlandsis Ouest-Antarctique, un énorme glacier jadis attaché à l’Antarctique, on estime que le niveau des océans va augmenter de près de trois mètres, causant le déplacement de millions de personnes vivant dans les zones côtières et les zones inondables. Pire, avec un réchauffement climatique estimé à près de 4o Celsius d’ici 2100, on prévoit que la production alimentaire sera réduite de moitié, notamment à cause de la désertification des terres cultivables et des variations des précipitations et des courants marins. Toutefois, on l’a vu plus haut, les désastres environnementaux causent certes une baisse de productivité localisée et temporaire, mais profite au système en entier; même la destruction des récoltes intensifie l’activité économique. Ainsi, le dérèglement climatique ne nuit pas au système capitaliste, il l’alimente directement.
Notes
- https://www.fao.org/docrep/014/mb060e/mb060e00.htm
- https://www.aljazeera.com/indepth/opinion/2012/10/201210993632838545.html
- La crise économique n’est survenue en Europe continentale que deux ans plus tard, lorsque les importations de la Russie sont devenues non rentables et que tous les chariots construits pour les années précédentes sont devenus inutiles.
- https://www.academia.edu/2602980/The_Politics_of_Multi-Stakeholder_Initi... Voir, notamment, la conclusion.
- Christine Overdevest et Mark G. Rickenbach, « Forest certification and institutional governance: An empirical study of forest stewardship council certificate holders in the United States », Forest Policy and Economics, vol. 9, no 1, 2006, p. 93-102.
- Sandra Moog, André Spicer et Steffen Böhm, « The Politics of Multi-Stakeholder Initiatives: The Crisis of the Forest Stewardship Council », Journal of Business Ethics, vol. 128, no 3, mai 2015, p. 469-493.
- Entre autres: https://fsc-watch.com
- https://www.pathophysiologyjournal.com/article/S0928-4680%2814%2900064-9...
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