En cette période de pandémie, le capital tue plus que jamais. Les travailleur-euse-s sont laissé-e-s sans équipement dans les hôpitaux. Le confinement s’abat sur la population parce que les gouvernements ont fait trop peu trop tard. Les riches propriétaires qui ont ramené le virus avec elleux s'insurgent d'une grève des loyers que leurs locataires n'ont pas le choix de faire, faute d'argent. Les personnes qui vont mourir sont les plus vulnérables, des commis dans les épiceries aux livreur-euse de nourriture, en passant par les prisonnier-ère-s, les sans-abris et les sans papiers, pendant que les plus à l’aise travaillent de la maison. Malgré tout, la distanciation sociale reste une manière importante de réduire le nombre de personnes infectées, et c’est pourquoi NOUS NE NOUS RASSEMBLERONS PAS PHYSIQUEMENT POUR LA MANIFESTATION DU PREMIER MAI. Cependant, nous essaierons de rendre la résistance le plus visible possible, malgré le contexte difficile.
C'est demain jeudi que commence la cinquième édition du Revolution Fest de Montréal !
3 jours de musique sous la bannière de l’anticapitalisme, de l’antifascisme et du féminisme!
Lancé pour la première fois à l’automne 2013 par le chapitre montréalais des Red and Anarchist SkinHeads (RASH) et du Montreal Sisterhood, le Revolution Fest se veut un festival annuel présentant des groupes de musiques et des activités à caractère politique. Ce festival se déroulant sur plusieurs journées dans la ville de Montréal, permet à l’ensemble de la gauche de se rassembler, et ce, dans un cadre festif et de faire la promotion d’une contre-culture vivante et radicalement opposée à toutes les formes que prend l’extrême droite.
NOS POCHES SE VIDENT, CELLES DES BANQUES DÉBORDENT ! ALLONS CHERCHER L'ARGENT LÀ OÙ IL SE TROUVE !
Perturbons l'assemblée annuelle des actionnaires de la Banque Nationale !
« Ils sont riches parce qu'on est pauvres et on a raison de se révolter! »
Organisez-vous et joignez-vous à nous pour le 1er mai 2017 !
Assemblée populaire
Jeudi, le 3 novembre 2016
Au 1710, rue Beaudry (métro Beaudry)
Gratuit !
Déroulement de la soirée :
Rassemblement devant le club St-James, coin René-Lévesque/Union (métro McGill)
Jeudi le 29 septembre 2016 à 11h00
Encore une fois, des mégalomanes à cravates essaient de nous faire passer un pipeline de sables bitumineux sous le nez. Cette fois-ci, c'est l'Association Pipeline qui organise un dîner-conférence "Les pipelines sont-ils pertinents en 2016 ?", avec un conférencier catapulté directement de la corporation Transcanada, financière du pipeline Énergie Est.
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C'est un rendez-vous à la place Pasteur, rue St-Denis (entre Ste-Catherine et Maisonneuve), le jeudi 11 août à 18h !
Car, pour la première fois, le Forum social mondial a lieu dans un pays du Nord. Cette tournée du forum à Montréal est une opportunité historique de voir l’envers de la médaille : plutôt que de constater l’appauvrissement et l’exploitation des pays du sud, les participant-e-s pourront observer l’enrichissement et la décadence des pays du Nord.
Pour la troisième fois, le prolétariat conscient de tous les pays affirme, par la tenue d’une manifestation internationale, une solidarité authentique entre les travailleurs et travailleuses, une profonde haine de l’exploitation et la volonté, chaque jour plus déterminée, de mettre fin au système tel qu’il existe.
Le 1er mai 2006, des millions de travailleurs et travailleuses migrantEs sont descendues dans les rues dans plusieurs villes des États-Unis à l’occasion d’une action concertée intitulée « A day Without Immigrants » (une journée sans immigrants).
Points de départ :
ENCORE UNE FOIS, CECI EST UN APPEL À LA PERTURBATION ÉCONOMIQUE DU CENTRE-VILLE DE MONTRÉAL, BAPTISÉE PAR LA BOURGEOISIE ELLE-MÊME LE NOUVEAU "GOLDEN SQUARE MILE", EN PARTICULIER LE QUADRILATÈRE FORMÉ PAR LES RUES SHERBROOKE, RENÉ-LÉVESQUE, PEEL ET UNION.
Comme on vient de le voir, les États, les patrons et les élites ont mis en place tout un système répressif pour contrôler leurs propres populations. Et contrairement à elles, leur bras armé, lui, ne connaît pas de frontières et est d’autant plus redoutable.
Comme on vient de le voir, le système capitaliste a une capacité assez développée de se maintenir et de se renouveler, entre autres en avalant ou en récupérant sans broncher la plupart des mouvements qui tentent de le réformer. Dans cette perspective, les droits humains, appelés aussi droits de la personne ou droits fondamentaux, sont souvent présentés comme étant le garde-fou ou le contrepoids des inégalités inhérentes au système économique libéral capitaliste et à la démocratie parlementaire dans lesquels nous vivons en Occident.
Dans une société capitaliste, il est dans l’intérêt des personnes qui se retrouvent en haut de la pyramide de laisser croire à la population qu’elles sont de son côté. Les « compromis » effectués et les « acquis » octroyés sont ce que l’on pourrait appeler des réformes, dont les élites sont d’ailleurs les seules véritables bénéficiaires. En effet, par leurs réformes, ces élites tuent la révolte, embobinent le peuple et maintiennent le statu quo.